Salah Al-Jaafaraoui, le journaliste palestinien devenu la voix de Gaza sur les réseaux sociaux, a été tué dans le quartier d’Al Sabra. Son assassinat, perpétré par un gang hors-la-loi, est perçu comme un acte criminel, mais s’inscrit dans un contexte où ces groupes agissent, selon certaines sources, sous la coupe et l’influence indirecte de l’occupation.
Une cible désignée par la propagande
De son vivant, Salah Al-Jaafaraoui a été une cible constante dans la guerre de l’information. L’occupation n’a cessé de le menacer et de le discréditer en inventant des propagandes, notamment des accusations de collaboration ou de détournement de fonds, visant à justifier son éventuel assassinat et à étouffer son témoignage. Sa voix a atteint le monde entier malgré les bannissements continus sur les plateformes.
La fin tragique d’un témoin clé
La mort d’Al-Jaafaraoui par ce « gang » dans le sud de Gaza est vue par certains comme un règlement de comptes interne qui prospère dans le chaos sécuritaire, chaos souvent attribué à la politique de l’occupation. Ce journaliste, qui a payé le prix fort pour sa documentation sans faille, est un martyre. Son courage et sa résistance face aux menaces restent un symbole de résilience. Gloire au martyre.