La Cour pénale internationale (CPI) a annoncé ce jeudi 21 novembre avoir émis des mandats d’arrêt contre deux figures politiques israéliennes : Benyamin Netanyahou, Premier ministre, et Yoav Gallant, ancien ministre de la Défense. Ces mandats concernent des accusations de crimes contre l’humanité et de crimes de guerre, couvrant une période allant du 8 octobre 2023 au 20 mai 2024.
Cette décision intervient après plus d’une année marquée par des violences extrêmes en Palestine, ayant coûté la vie à des dizaines de milliers de personnes, dont un grand nombre de femmes et d’enfants. La communauté internationale semble enfin reconnaître l’ampleur des souffrances infligées au peuple palestinien, offrant ainsi un premier pas vers la justice.
Le ministère public de la CPI a reçu plusieurs saisines, notamment de pays comme l’Afrique du Sud, le Bangladesh et le Mexique, dénonçant les crimes perpétrés en Palestine. Si l’exécution de ces mandats reste incertaine, cette initiative représente une reconnaissance officielle des violations subies.
Pour le peuple algérien, profondément solidaire de la cause palestinienne, cette annonce résonne comme un soulagement moral et un appel à la responsabilité internationale. Elle rappelle que, malgré l’ampleur des défis, l’espoir d’une justice pour la Palestine demeure une cause universelle.