L’UNESCO a annoncé une nouvelle victoire pour le patrimoine culturel algérien : l’inscription du costume féminin de cérémonie du Grand Est algérien sur la Liste du Patrimoine immatériel mondial. Cette reconnaissance met en lumière les savoir-faire uniques liés à la confection et à la parure de la Gandoura et de la Melehfa, pièces emblématiques de l’artisanat et de la culture algérienne.
Une inscription méritée malgré les obstacles
Validée par les membres de l’UNESCO, cette inscription célèbre l’héritage culturel riche et vivant du pays. Elle intervient malgré les tentatives infructueuses de l’ambassadeur marocain auprès de l’UNESCO, Samir Addahre, qui aurait cherché à discréditer le dossier algérien. Ces manœuvres, basées sur des incohérences et des pratiques contestables, n’ont pas empêché la validation de cette candidature.
Un hommage à un savoir-faire ancestral
La Gandoura et la Melehfa, souvent portées lors de cérémonies, symbolisent un patrimoine transmis de génération en génération. Leur inscription à la liste de l’UNESCO témoigne de l’importance de préserver et de promouvoir cet héritage exceptionnel, qui incarne l’identité et la créativité des régions de l’Est algérien.
Cette reconnaissance internationale est une source de fierté pour l’Algérie et renforce l’importance de protéger et de valoriser les traditions qui font la richesse de son patrimoine culturel.