La cour d’Alger a réduit la peine de l’influenceuse Mouna Limam de 18 à 12 mois de prison ferme, après son arrestation à l’aéroport avec du tramadol, une petite quantité de cannabis et une somme en liquide. Si elle a été accusée d’intention de distribution, Mouna Limam a expliqué sa dépendance aux psychotropes, affirmant qu’ils étaient destinés à un usage personnel pour soulager des douleurs dorsales, appuyée par une ordonnance médicale.
Cette affaire met en lumière un problème majeur : la dépendance des jeunes aux psychotropes, un fléau préoccupant. Si Mouna Limam est réellement une consommatrice et non une revendeuse, nous lui souhaitons un bon rétablissement, car cette maladie est curable avec un soutien adéquat.
La justice, en faisant preuve de clémence, rappelle la nécessité d’un équilibre entre sanction et accompagnement, dans une société où l’usage des psychotropes reste un défi croissant.